Chapitre 11 : Le mariage
Après plusieurs mois de préparatif. Le jour était enfin venu. Le mariage.
Nous avions rendez-vous à l’église à 14h devant le prêtre pour célébrer notre union. Le stresse s’emparait de moi petit a petit. Je n’avais pas vue mon futur époux depuis cinq jours. Où était-t-il ? Je ne le savais pas.
Quelques minutes plus tard on toquait à la porte de ma petite maison. Djidane le meneur de ma guilde et mon témoin pour la même occasion l’ouvris et pris mon bras pour m’emmener jusqu’as l’église. J’étais paniqué. Où était passer Agrius. Il ne me lâcher pas un mots a part « tu es resplendissant » Il me guidais jusqu’au seuil de l’église ou tous les inviter nous attendez.
Le prêtre ouvrit les portes et les inviter s’installèrent sur les banc de l’église comme si ils n’avaient pas remarquer l’absence de mon homme.
Toujours pas de Agrius en vue. J’étais désormais seule devant la grande porte en bois d’olivioler. J’allais bientôt rentrer dans l’aller ou les bancs étaient alignés. Les larmes commencer à monter le long de mes yeux.
Je pris mon bouquet a la main et avança d’un pas sur jusqu’au prêtre ou je vie Agrius accompagner de Tiramitsu me tendre la main.
J’étais soulager et avancer d’un pas plus dynamique cette fois si.
Il était magnifique dans un costard noir, cheveux coiffer pour une fois. J’étais aveugler par son regard et failli trébucher contre une dalle mal placer. Nous nous retournions en direction de prêtre qui tenait un livre à la main.
- Mes bien-aimés, vous voici réunis devant les Dieux d’Amakna et cette assemblée, afin d'unir cet homme et cette femme dans les liens bénis du mariage, état très honorable, institué par les Dieux eux-mêmes avant que l'homme ne succombe au péché, et symbolisant pour nous l'union mystique qui joint nos Dieux à leur Eglise. Cette institution fut sanctifiée et bénie par la présence même des Dieux d’Amakna. Le Mariage a été institué pour la sanctification de l'union entre l'homme et la femme, pour la procréation des enfants qui seront élevés dans la crainte et le respect des Seigneurs, et pour l'affection, l'assistance et le réconfort mutuel des conjoints, dans la prospérité comme dans le malheur. C'est le sacrement par lequel les deux personnes ici présentes désirent être unies. Donc, si l'un d'entre vous connaît une raison valable qui s'oppose à leur union légitime, qu'il parle maintenant, ou qu'il se taise à jamais.
- Agrius-Vishgar veux-tu prendre cette femme pour épouse légitime, et vivre avec elle selon la loi des Dieux d’Amakna, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, la consoleras-tu, l'honoreras-tu, dans la maladie, comme dans la santé, et renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?
Agrius-Vishgar répondit :
- Oui, j'y consens.
- Hysumia. Consens-tu à prendre cet homme pour époux légitime, à vivre avec lui selon la loi des Dieux d’Amakna, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, le consoleras-tu, l'honoreras-tu, le garderas-tu, dans la maladie comme dans la santé, et, renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?
Je répondis « Oui, j'y consens ». Tout en le regardant dans les yeux.
Il mis sa main droite dans la mienne, et me fit répéter après lui:
- Moi, Agrius-vishgar. déclare te prendre, toi Hysumia. pour épouse légitime, à partir de ce jour, pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer et te chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare, selon le décret des Dieux, et je t'en donne ici ma foi.
- Moi, Hysumia. déclare te prendre, toi Agrius-vishgar. pour époux légitime, à partir de ce jour, pour le meilleur et pour le pire, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer et te chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare, selon le décret des Dieux, et je t'en donne ici ma foi.
Nous nous échangeâmes les alliances. Agri mit son bras derrière mon dos, m’avança vers sa bouche et m’embrassa longoureusement.
- Je déclare sous les regard des dieux Hysumia et Agrius-Vishgar mari est femme jusqu’as se que la mort les sépare.
Un tonnerre d’applaudissement s’éleva de la salle. Après quelque minutes nos inviter sortirent de l’église. Nos témoins signaient toute la paprasse poser sur la petite table. Ils sortirent à leurs tours. Il ne rester plus que nous deux. Il me prit par la main et nous partions en direction de la grande porte. A peine sur le palier des trombes de riz tombais sur nous avec nos amis qui nous féliciter. Je flottais sur mon petit nuage. J’étais enfin unie avec lui jusqu’as ma mort. Nous partîmes au cimetière de Bonta déposer mon bouquet de fleur sur la tombe de mes parent.
- Voila papa, maman. J’ai trouvé la personne avec qui je veux vivre et avec qui je suis heureuse. Nous nous sommes marié aujourd’hui et je vous offre mon bouquer de fleur. Je vous aime.
Je parti rejoindre nos inviter. Des larmes de tristesse et de joie coulaient le long de mes joues.